Les Sables-Horta-Les Sables, Telecom Italia allunga il passo
Class 40OceanoVela 8 Luglio 2009 Zerogradinord 0
[singlepic id=3282 w=300 h=204 float=left]Les Sables-Horta-Les Sables – Les Sables d’Olonne – Dopo tre giorni di Oceano, si fa sempre più marcata l’egemonia di Telecom Italia: Giovanni Soldini e Karine Fauconnier, infatti, sono nettamente al comando della Les Sables-Horta-Les Sables.
A premiare il navigatore italiano e la sua compagna di avventura, oltre alle notevoli doti prestazionali del loro Class 40, è stata la scelta di navigare più a sud di tutti. Una scelta adotatta nel momento in cui la flotta ha approcciato Capo Finisterre, punta nordovest della Spagna.
Ora, mentre navigano sotto spy a velocità sostenuta, Soldini e la Fauconnier hanno un margine di 24 miglia su Keysource di Paul Worswick, che a differenza dello scafo italiano naviga lungo una rotta molto settentrionale, e di 36 su Zed 4 di Gerald Bibot.
OUVERTURE DE L’EVENTAIL
[Les Sables-Horta Press Releas] Ce qui est pris n’est plus à prendre… Depuis que la flotte a doublé la pointe nord-ouest de l’Espagne, tout le monde déboule sous spi dans un flux de nord soutenu. Les vitesses montent: les moyennes flirtent avec les douze nœuds quand certains tandems avouent faire des pointes à près de vingt. Mais ce rythme ne devrait pas tenir longtemps. Tous les navigateurs se penchent sur la dorsale anticyclonique qui leur barre la route vers Horta. Et les avis divergent.
Ne pas relâcher la vigilance. Sur la route des Açores, il s’agit d’aller au plus vite, car les milles perdus aujourd’hui se compteront en heures quand le vent aura molli. Aller au plus vite… mais dans la bonne direction. Et visiblement, les solutions envisagées ne sont pas les mêmes selon que l’on s’appelle Giovanni Soldini au sud ou Mike West au nord. Les deux leaders de la flotte sont en effet sur deux routes extrêmes par rapport au reste de la flotte. Une stratégie qui a le mérite de relancer le suspense, compte tenu de la supériorité évidente du plan Verdier. Telecom Italia possédait en effet ce matin, après moins de trois jours de course, 36 milles d’avance sur Zed 4, son dauphin sur la route du sud: un monde dans des conditions de navigation normales, mais qui peut être réduit à néant pour peu que le franchissement de la dorsale redistribue les cartes. Réponse d’ici vingt-quatre à quarante-huit heures.
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